Doully
Hier, j'arrête
Lieu : Centre Culturel Yves Furet
Humour | Tout public à partir de 16 ans | Durée : 1h15
Tarifs : plein : 30 € | réduit & CE : 25 € | abonné : 22 €
Tarif plein également en vente sur les réseaux : Fnac, SeeTickets et TicketMaster
En vente à partir du 16 juillet
Réservations : 05 55 89 23 07
Spectacle co-écrit avec Blanche Gardin et Paco Perez. Présentatrice punk à « la voix de clochard » de Groland, mais aussi chroniqueuse sur France Inter dans l’émission de Charline Vanhoenacker “C’est encore nous”… Doully est passée ‘‘maître’’ du stand-up en racontant notamment avec une aisance et une drôlerie bluffantes son passé d’ex-junkie aux mille et une vies (go-go danseuse, barmaid, dame pipi, doubleuse de porno, créatrice de prêt-à-porter, prof de français en Espagne, etc, etc…), mais aussi sa sobriété…
Née de parents graphistes et artistes, Doully grandit dans un petit appartement du Ve arrondissement. Dès l’enfance, elle se distingue des autres par son timbre de voix, une voix rauque, qui lui donne un air perpétuellement soûl. À 14 ans, le 30 m² près de Notre-Dame devient trop étroit. Ses parents l’autorisent à vivre seule dans le studio voisin. C’est à partir de ce moment-là que Doully débute ses addictions et ses années plutôt rocambolesques : elle commence par héberger les SDF de son quartier, fume son premier joint d’héroïne issu d’un stock laissé chez elle par deux dealers en cavale. Dès lors, elle passera dix ans d’addictions à traîner à Stalingrad.
Au bout de dix ans d’héroïne, cocaïne, cigarettes et autres addictions, Doully survit à trois crises cardiaques. Elle se sèvre en Israël, puis part s’exiler à Barcelone. De retour en France, Doully ne boit que de l’eau et de la camomille, regarde “Colombo” tous les soirs et commence à poster de petites vidéos de sketchs et à se tester sur des plateaux de stand-up parisiens. Doully touche son rêve du doigt : la scène. Elle rentre définitivement en France en 2017 et crée une première version de son spectacle Admettons qui s’intitule dans un premier temps L’Addiction c’est moi.